c'est donc ainsi que ton vicieux de curé présentait sa bite cruciforme à ton petit cul, pour extraire Satan de tes couilles mais bon, tu ne lui en voeux pas trop tant il t'a extrait du foutre, "sors de ces couilles Satan" et surtout, il devait le faire avec une sincère conviction puisqu'il le faisait de même avec ta mère. Elle le recevait à domicile, c'est dire son implication et toujours dans son souci d'éducation sexuelle, en ta présence, caché derrière la porte, tu pouvais te branler en voyant le vil du commis du Vatican expier la salope de ta mère, toujours prête et ouverte aux bites avoisinantes."Ouvre tes lèvres juteuses ma fille et reçois le corps du christ" disait-il en la comblant de sa bite que tu ne quittais pas des yeux, captivé et fasciné par la grosse chatte de ta mère qui faisait disparaître cette grosse pine que tu avais tant de mal à sucer dans le confessionnal. Ta salope de mère, en jouisseuse débridée, s'abandonnait en de longs râles érotiques, pas du genre à mordre l'oreiller pour étouffer ses cris, "allez-y mon père, expiez ma salope de grosse chatte livrée toutes les bites du conté, baisez-moi mon père". Et avec toutes les "ma fille" qu'il donnait, tu avais fini par dire aux copains que "maman se fait communier à domicile par grand-père, en se mangeant le corps du christ jusqu'à la garde". (Ces curés pédés (ophiles) n'ont jamais été inquiétés pour fantasmes incestieux). Il n'était peut-être pas dans le faux, avec toutes ces bites et foutres qui ont inondés la chatte de ta mère, cela relève du miracle qu'elle n'ait jamais eu de MST ou inversement, que ce curé n'ait jamais eu d'ennuis de ce genre pour avoir si souvent trempé bite, doigt, bouche, langue et copains-coquins dans la grotte miraculeuse de ta salope naturelle de mère. Pendant ce temps là, Satan œuvrait en toute plénitude dans les couilles du curé, c'est toujours mieux d'avoir son meilleur ennemi sous ses yeux, d'avoir l'œil sur lui et en retour, cher Satan simplet bossait comme dix pour que gicle en longs jets intarissables une fontaine de foutre, inondant bouche et visage de ta mère, mais aussi assez pour lui en balancer sur les miches et sur le cul. De quoi convertir toute brebis égarée.
En fait, le diable se cache dans les détails… Ici entre les spermatozoïdes, parfois dans les poils de couilles de ce sacré curé, etc.
Comme dirait le grand Jacques : « avec la rage en'dans, ça te claque dans l'sang, connaissant le diable t'a offert... »
Faut dire que ce bon dieu de curé était monté comme un satyre, et à se titre, toutes les salopes du canton, attirées par les phéromones ou par la vision de cette énorme bosse qui déformait la soutane. Et que Belzébuth m'encule avec ses cornes si ce diable d'homme n'avait pas réjoui au moins 10 fois chacune de ses ouailles demandeuses. Et encore, en ces temps discret, personne ne comptabilisait les moments d'égarement entre personnes du même sexe !
Alors tu penses bien que mère, grand-mère et sûrement aussi mes tantes, sans parler d'oncle un peu « tata », tout le monde allait, qui à confesse, qui à vêpres, qui à la première messe, qui à la dernière…
Et les sons sortant de la sacristie aurait effrayé plus d'un cardinal véreux et attiré bien des jouvencelles promises au voile !
Cela dit, il me semble que ton ascendance aussi fréquentaient les catéchèses du saint homme, je me trompe ?
Toujours est il qu'aujourd'hui, si en cette bonne paroisse de quimper, les paroissiens se sentent tous frère, c'est bien parce qu'ils n'eurent qu'un père effectivement !
Oui ! Faudrait pas que le petit Jésus de l'opératrice soit noyé !
Age Verification
WARNING This site is for adults only. The following website, including all webpages, links, images and videos, display sexually explicit material. You affirm that you are at least 18 years of age or the age of majority in the jurisdiction you are accessing the website from and you consent to viewing sexually explicit content.
Je suis certain qu'on doit s'attendre à "un grand crû" !
Un grand cru je ne sais pas, mais un bon cul... Ça oui je pense !
c'est donc ainsi que ton vicieux de curé présentait sa bite cruciforme à ton petit cul, pour extraire Satan de tes couilles mais bon, tu ne lui en voeux pas trop tant il t'a extrait du foutre, "sors de ces couilles Satan" et surtout, il devait le faire avec une sincère conviction puisqu'il le faisait de même avec ta mère. Elle le recevait à domicile, c'est dire son implication et toujours dans son souci d'éducation sexuelle, en ta présence, caché derrière la porte, tu pouvais te branler en voyant le vil du commis du Vatican expier la salope de ta mère, toujours prête et ouverte aux bites avoisinantes."Ouvre tes lèvres juteuses ma fille et reçois le corps du christ" disait-il en la comblant de sa bite que tu ne quittais pas des yeux, captivé et fasciné par la grosse chatte de ta mère qui faisait disparaître cette grosse pine que tu avais tant de mal à sucer dans le confessionnal. Ta salope de mère, en jouisseuse débridée, s'abandonnait en de longs râles érotiques, pas du genre à mordre l'oreiller pour étouffer ses cris, "allez-y mon père, expiez ma salope de grosse chatte livrée toutes les bites du conté, baisez-moi mon père". Et avec toutes les "ma fille" qu'il donnait, tu avais fini par dire aux copains que "maman se fait communier à domicile par grand-père, en se mangeant le corps du christ jusqu'à la garde". (Ces curés pédés (ophiles) n'ont jamais été inquiétés pour fantasmes incestieux). Il n'était peut-être pas dans le faux, avec toutes ces bites et foutres qui ont inondés la chatte de ta mère, cela relève du miracle qu'elle n'ait jamais eu de MST ou inversement, que ce curé n'ait jamais eu d'ennuis de ce genre pour avoir si souvent trempé bite, doigt, bouche, langue et copains-coquins dans la grotte miraculeuse de ta salope naturelle de mère. Pendant ce temps là, Satan œuvrait en toute plénitude dans les couilles du curé, c'est toujours mieux d'avoir son meilleur ennemi sous ses yeux, d'avoir l'œil sur lui et en retour, cher Satan simplet bossait comme dix pour que gicle en longs jets intarissables une fontaine de foutre, inondant bouche et visage de ta mère, mais aussi assez pour lui en balancer sur les miches et sur le cul. De quoi convertir toute brebis égarée.
En fait, le diable se cache dans les détails… Ici entre les spermatozoïdes, parfois dans les poils de couilles de ce sacré curé, etc.
Comme dirait le grand Jacques : « avec la rage en'dans, ça te claque dans l'sang, connaissant le diable t'a offert... »
Faut dire que ce bon dieu de curé était monté comme un satyre, et à se titre, toutes les salopes du canton, attirées par les phéromones ou par la vision de cette énorme bosse qui déformait la soutane. Et que Belzébuth m'encule avec ses cornes si ce diable d'homme n'avait pas réjoui au moins 10 fois chacune de ses ouailles demandeuses. Et encore, en ces temps discret, personne ne comptabilisait les moments d'égarement entre personnes du même sexe !
Alors tu penses bien que mère, grand-mère et sûrement aussi mes tantes, sans parler d'oncle un peu « tata », tout le monde allait, qui à confesse, qui à vêpres, qui à la première messe, qui à la dernière…
Et les sons sortant de la sacristie aurait effrayé plus d'un cardinal véreux et attiré bien des jouvencelles promises au voile !
Cela dit, il me semble que ton ascendance aussi fréquentaient les catéchèses du saint homme, je me trompe ?
Toujours est il qu'aujourd'hui, si en cette bonne paroisse de quimper, les paroissiens se sentent tous frère, c'est bien parce qu'ils n'eurent qu'un père effectivement !
Attention aux projections .....!!!!!!
Oui ! Faudrait pas que le petit Jésus de l'opératrice soit noyé !