150918 petit personnel212

ouais, les immortels et les chiffres, forcément ! C'est vrai que toutes deux faisaient honneur à ta sainte salope famille, toutes deux en phase avec leur grosse chatte blonde pulpeuse et chaude, toutes deux bien cambrées sur leur gros cul et expertes en pipes, offrant tous leurs trous aux paysans et méritants. Tu dois ne pas oublier cette enfance, quand tu ramenais tout fier tes copains d'école à la maison, pour reluquer ta mère. Elle savait les recevoir, en faisant tomber son soutif et laissant ses lourds nichons maternels se balancer sous sa blouse mal boutonnée. Ils ouvraient grands leurs billes pour ne rien perdre du spectacle de ses lourdes mamelles pendantes exposées à leurs vus , cherchant à voir encore mieux les gros tétons tendus de ta maternelle et expiraient quand nonchalamment elle laissait ses deux énormes obus laiteux s'écraser lourdement et chaleureusement sur leurs épaules et joues, sous prétexte de servir le chocolat et le goûter. Et elle avait toujours le geste racoleur en se penchant sous sa cuisinière pour chercher le petit bol manquant, montrant toute l'ampleur de sa large croupe. Ce petit geste supplémentaire en relevant sa robe pour plus d'aisance et montrer sa grosse chatte blonde naissante, sa chatte en chaire, deux grosses lèvres fumantes et gonflées. Elle ne faisait pas que pour l'éducation de ses petits morveux, ta mère savait que déjà, roublard et cochon, tu négociais leurs venus, le minimum syndical était de te faire sucer. Rares furent ceux qui se refusèrent à tes exigences. Et c'est aussi pour toi qu'elle se mit à recevoir le facteur à l'heure dite de ton retour de classe pour le sucer et le branler entre ses grosses miches chaudes, dans la cuisine, pour que tu ne puisses pas manquer une seconde de ton apprentissage. Le facteur tout particulièrement car doté d'un sacré appareil génital, ta mère pouvait ainsi s'en saisir à pleines mains, des deux mains, et le branler et sucer et pomper pour que toi, bien qu'à distance raisonnable, tu n'en perdes pas une miette. Elle se mettait aussi dans ton axe pour que le facteur débile à grosse bite puisse la détrousser et que tu découvres bien son gros cul et surtout sa grosse chatte blonde, ouverte, béante, pleine de mouille. Et le jour où elle s'est décidée à te surprendre avec un copain d'école payant de sa personne le droit à mater les grosses miches de ta mère, c'était pour te donner les bonnes bases de suceur de queue. Elle a du prendre la petite bite de l'ayant droit et te la mettre elle même dans ta bouche, te montrant au besoin comment faire. Elle avait du ouvrir sa blouse et donner du sein au pauvre donneur de bite, stressé par la situation, pour que sa bandaison reste. Tout comme elle le faisait pour toi durant tes périodes fiévreuses, affaibli et livré au sort, elle venait dans ton petit lit, ouvrait sa blouse et collait ta tête dans sa pénétrante vallée, cernée par ses deux valons chauds et laiteux. Tu portais alors tes doigts sur ses tétons comme font les autres enfants sur le lobe de l'oreille et tu le faisais rouler sous tes doigts. Pour emporter le mauvais sort définitivement, elle enlaçait délicatement ta petite bite fiévreuse et la branlait doucement et longuement, attendant seulement le moment où tu sortais ta tête de ses grosses mamelles lourdes pour te sucer le bout. et pourtant, tu ne l'a jamais baisé ta mère, pas à ma connaissance,jamais connu le délice de fourrer ta bite dans sa grosse chatte juteuse ni de son beau gros cul qu'elle ouvrait pour arrondir les fins de mois te faisait-elle croire mais en fait, parce que son tonton lui avait vraiment refilé l'immense pied de se faire défoncer la cochonne par des puissants coups de bites aussi grosses que possibles. Elle a fait de toi un homme, un vrai, un pédé protéiforme, et pas besoin d'aller voir un psy, tu es bien et très bien ainsi.